LA BOISSELLERIE DU VIADUC

UN TOUR DE MAGIE

Si vous possédez ce petit jeu traditionnel et indémodable appelé YATAGO, ECHELLE DE JACOB ou SERPENT DE BOIS et que vous maîtrisez sa manipulation, nous vous proposons un petit tour de magie.

Pour épater vos amis, cliquez ici 

LE JOKARI

Matériel : 1 jeu de Jokari (raquettes, socle, élastique et balle).

Nombre de joueurs : 1 ou 2.

But du jeu : Lancer la balle (librement, contre un mur ou à un partenaire) et la rattraper au rebond avec une raquette.

Grand classique des jeux de jardin, le Jokari évite de perdre sa balle dans les buissons.

Chacun invente ses règles et sa façon de compter.

On peut y jouer seul avec l’illusion d’avoir un partenaire, grâce à l’élastique qui imite assez bien un renvoi réel.

Quand on joue à deux, le plus difficile est de trouver la bonne distance, mais après quelques tâtonnements on attrape la bonne cadence.

LE COCHON QUI RIT

Nombre de joueurs : de 2 à 4

But du jeu : compléter son cochon le premier

La petite histoire :

Le jeu du « cochon qui rit » a été créé en 1932 par un épicier Lyonnais, Joseph Michel. Un an plus tard, il était primé au concours Lépine. A l’origine, les habitués des bistrots lyonnais jouaient l’apéritif avec un dé désignant le cochon sur les tables. Joseph Michel a eu l’idée de faire de cette pratique un jeu familial, avec pour support des petits cochons en bois. Popularisé en version plastique depuis les années 60, le cochon qui rit de luxe renoue avec la tradition du bois.

Déroulement de la partie :

Chaque joueur, à tour de rôle, lance les 3 dés. Le plus jeune commence.

Pour avoir le droit de prendre un cochon, complètement démonté au départ, il faut tout d’abord faire un 6. Il suffit ensuite simplement de faire des as pour s’octroyer et placer les attributs, à savoir : 1 as pour une patte, une oreille ou un œil. Pour placer la queue, il faut faire 2 as d’un seul lancer de dés. Si au début le 6 est accompagné de 1 ou 2 as, on obtient le corps du cochon avec un attribut ou la queue.

Un joueur continue de lancer les dés tant qu’il sort des as. Celui qui complète son cochon le premier est le gagnant.

LE JEU DE NAIN JAUNE

Nécessite un jeu de 52 cartes et des jetons.

Le 7 de carreau représente le nain jaune.

Avant de commencer le jeu, convenir de la valeur des jetons.

Avant de battre les cartes chacun des joueurs garnira le tableau ainsi :

Sur le 10 de carreau : 1 jeton

sur le valet de trèfle : 2 jetons

sur la dame de pique : 3 jetons

sur le roi de cœur : 4 jetons

sur le nain jaune : 5 jetons

On répétera la mise à chaque fois que l’on rebattra les cartes. On pourra ainsi, au lieu d’un jeton, en mettre plusieurs pour jouer plus gros jeu selon les conventions faites avant de jouer.

Le nombre de joueurs doit être de 3 au moins et de 8 au plus.

On distribue les cartes d’après le nombre de joueurs.

Pour 3 joueurs : 15 cartes chacun.

Pour 4 joueurs : 12 cartes chacun.

Pour 5 joueurs : 9 cartes chacun.

Pour 6 joueurs : 8 cartes chacun.

Pour 7 joueurs : 7 cartes chacun.

Pour 8 joueurs : 6 cartes chacun.

LE JEU DE L'OIE

Le jeu de l'oie se joue avec 2 dés.

Chaque joueur joue à son tour et compte avec son pion le nombre de points réalisés avec les dés.

Au commencement, si quelqu’un fait 9 par 6+3, il va immédiatement au nombre 26.

S’il fait 4 et 5, il va au nombre 53.

Celui qui fait 6 va à 12.

Celui qui va à 19 (hôtel) attend que les autres joueurs jouent 2 fois.

Celui qui va à 31 (puits) attend qu’un autre joueur arrive au même numéro et prendra sa place.

Celui qui va à 42 (labyrinthe) retourne au numéro 30.

Celui qui va à 52 (prison) attend qu’un autre joueur vienne au même numéro pour repartir.

Celui qui va à 58 (tête de mort) recommence tout le jeu.

Celui qui est rejoint sur un numéro va prendre la place primitive de son adversaire.

Celui qui dépasse 63 avec le nombre de points joués doit reculer d’autant de cases supplémentaires jusqu’à ce qu’il termine juste à 63.

LE 421

Principe de jeu

Le 421 tient son nom de la plus fructueuse combinaison (le quatre, le deux et l’as) qu’un joueur puisse obtenir (parmi les 56 possibles lors d’un lancer de 3 dés). L’ordre hiérarchique de ces combinaisons varie selon les règles de jeu adoptées, mais ce n’est jamais strictement numérique (déterminé par l’addition des points des 3 faces sorties). Le 421 vient toujours en tête, suivi, dans un ordre variable, par des brelans (3 faces identiques) et les tirages avec 2 ou 3 as, puis par les séquences (points se suivant, par exemple 5-4-3) Viennent ensuite toutes les autres combinaisons « simples », la plus faible étant toujours le 221 (le 111 et le 211 faisant partie des « 2 as plus une face »), familièrement appelé « nénette ». Une combinaison se lit toujours par ordre décroissant sans scinder les chiffres : si par exemple on a obtenu trois, cinq et quatre, on dira « cinq cent quarante-trois ».

LES DAMES CHINOISES

But du jeu

Chaque joueur occupe une pointe avec les pions de sa couleur et doit les amener le plus rapidement possible dans la pointe opposée.

Déplacement des pions

Les joueurs effectuent un déplacement à tour de rôle, dans le sens des aiguilles d’une montre. La fiche peu se mouvoir de deux façons, en avançant vers la case la plus proche dans tous les sens ou en sautant en ligne droite par-dessus un autre pion (l’un des siens ou l’un de ceux de ses adversaires) à condition que la case d’arrivée soit vide. On peut faire sauter un pion plusieurs fois d’affilée. Lors d’une série de sauts, on peu changer de direction, voir reculer.

LE JEU DE DOMINOS

Le jeu se compose de 28 dominos marqués de 0 à 6, 7 de ces dominos ont les deux faces identiques : se sont les "doubles" (0-0, 1-1, 2-2...)

On place les dominos sur la table, face cachée et on mélange.

Chaque joueur prend un certain nombre de dominos : à 2 ou 3 : 7 dominos chacun, à 4 joueurs : 6 dominos chacun, à 5 joueurs : 5 dominos chacun, à 6 joueurs : 4 dominos chacun. Les autres dominos constituent la pioche.

Le joueur pose ses dominos devant lui, de façon à ce que les autres joueurs ne puissent les voir.